- Hyères, maillot et… mayo?

 

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Hyères c’est aujourd’hui!

 

Evidemment que j’allais vous la ressortir cette bonne vieille vanne annuelle, on prend les mêmes et on recommence et c’est ça qui est bon!

 

Au moment où vous me lirez, je serai dans la voiture, les pieds en éventails sur le tableau de bord, ma tasse isotherme remplie à ras bord de thé à la main, en train de gossiper sur les éventuelles personnes qui seront là bas cette année.

Mon boyfriend, navré, fera semblant de s’intéresser à ce que je lui dis en priant secrètement le Dieu de la frite (il est belge) que son calvaire ne soit pas trop long (en gros, que je la boucle rapidos et que je m’endorme la bouche ouverte comme le veut la tradition.)

 

Hyères donc, again, mon week-end préféré de l’année.

Et ça n’est pas mon homonyme à la chevelure framboyante, fraîchement Matthew Williamsonisée qui dira le contraire.

 

Hyères, c’est obsessionnel, dès janvier (minimum) on ne pense plus qu’à ça.

 

Quand on voit le jury qui officiera cette année (présidé par Kris van Assche himself), on ne peut qu’être certain d’un grand cru annoncé!

 

Bon, Hyères, c’est cool hein, mais c’est aussi le plus gros casse-tête de l’année.

 

Genre la valise, c’est juste impossible de savoir quoi mettre dedans.

 

C’est LE moment où tu as évidemment l’impression que ton dressing est VIDE, que RIEN ne va avec RIEN et que de toute façon, on passera pour la dernière des nullasses quoi qu’on fasse (mode confiance en soi OFF, bouton cassé…)

 

Cette année pourtant, j’avais décidé de ne pas négliger un détail pour la toute première fois depuis 4 ans.

Comme le temps a toujours été plus qu’au rendez-vous lors des précédentes éditions et que le soleil tapait fort, j’ai souvent regretté de ne pas avoir emporté de maillot de bain avec moi.

Evidemment, pas pour me faire dorer la pilule à La Villa de Noailles, je ne suis pas suicidaire non plus.

 

Mais qui sait, planquée derrière un ENORME parasol, quelque part sur une plage abandonnée… Non?

 

Ben si, ça m’aurait pas déplu.

 

Du coup, il me FALLAIT un maillot.

C’était la meilleure excuse de l’année pour investir dans du beau, de la qualité… du Roseanna quoi!

 

Ben oui, évidemment quand j’ai pensé maillot j’ai pensé Roseanna… Vu la claque prise à la découverte de leur lookbook été 2009, c’était l’occasion qui faisait le larron!

 

Du coup, un petit tour sur La nouvelle vague, le site de vente en ligne dédié au swimwear où l’on trouve du Roseanna évidemment mais également d’autres marques de maillots et de vêtements/chaussures esprit « plage » (Les prairies de Paris, Chloé, A.F Vandevorst, Guia la Bruna, Le Mont Saint Michel etc.)

 

Mon gros souci, choisir entre mes 2 coups de coeur chez Roseanna: un des fameux bikinis de l’été 2009, le modèle Lonely Heart:

 

 

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(non, non, ça rend pas comme ça sur moi non…)

 

et un modèle trikini de l’an dernier, aux détails parfaits (mélange de bordeaux pour le maillot et de gris chiné pour les attaches… bombesque!)

 

 

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L’avantage de La nouvelle Vague, c’est que l’envoi est gratuit et que le retour si ça ne va pas est gratuit également!


Il y a juste à remettre le maillot dans une enveloppe en plastique fournie, coller le colissimo prépayé et la déposer à la poste. Easy…


Du coup, j’ai commandé les 2, tergiversé au moins 4 jours en les essayant tour à tour plusieurs fois et comme il fallait bien choisir… renvoyé le trikini la mort dans l’âme…

 

Bref, plutôt bon à savoir quand on sait à quel point la corvée de la cabine pour l’essayage des maillots peut être un GRAND moment de solitude parfois…

 

Me voilà donc avec mon maillot sublime, au cas où… toujours…

 

Pour info, une petite capture d’écran du temps prévu ces prochains jours sur place…

 

 

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Euh voilà quoi…

 

C’est pas perdu hein?

J’y retourne l’année prochaine de toute façon!

 

Sur ce, je vous fais plein de bisous et vous dis à très vite, j’ai pris mon ordinateur avec moi, j’essayerai de vous poster quelques petites photos de là-bas!

 

 

 

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