On en avait grignoté en 2008, on va en manger copieusement en 2009.
Pour celles qui aiment la combinaison, elle devrait, si j’en crois les collections, être une des grandes stars de la nouvelle saison.
Comme je vous le disais il y a quelques jours, un de mes sports favoris est de dénicher, lors des fins de soldes, les pièces qui seront les stars de la saison prochaine mais à un prix ultra riquiqui.
C’est justement l’histoire de ma petite pythonerie d’aujourd’hui.
Topshop, fin de fin de fin de soldes.
Je passe le site en revue, plus rien de franchement titillant, ma libido « fachone » reste au point mort.
Et finalement, dans la catégorie des « costumes sauteurs » (« jumpsuits ») je tombe sur une combi plutôt pas dégueu voire franchement pas mal, si on se projette un peu dans la 4ème dimension du potentiel éventuel de la chose…
Parce que sur le site, ça donnait ça:
Dément non?
Non?
Non.
Mais je ne sais pas, l’envie de tenter le coup parce que l’amour du risque, Jonathan et Jennifer, tout ça… Toute mon enfance en quelque sorte!
Soldée à 10£ au lieu de 65, pièce Topshop « Deluxe » (de très bonne facture habituellement) je passe commande.
Grand bien m’en a pris!
Pour peu qu’elle soit bien coupée, la combinaison est franchement une pièce non seulement ultra facile à vivre mais complètement caméléon avec possibilités multiples d’accessoirisations.
Et un caméléon python, c’est plutôt pas courant, nan?
La voici dans son plus simple appareil (pas moi hein? la combi)
Toujours pas dément, évidemment mais une petite pincée d’accessoires et voilà, on y arrive:
Du fauve, du python et du léopard, un mélange « sauvage » qui reste soft. Softvage?
Combi Topshop, ceinture H&M, escarpins Isabel Marant, maxi pochette Etsy
Un peu plus rock, la version cloutée néanmoins calmée par le sage blazer noir et éclairée par la maxi pochette moutarde.
Combi Topshop, blazer Et Vous, ceinture H&M, boots Colin Stuart, maxi pochette Topshop
Quelques chose me dit que cette combi, vous allez très bientôt la revoir mes amis.
Animal print lover je suis.
Photos: Seb Grisey
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