- A vos Clarks, prêts, partez!

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Non seulement la desert boot fait son grand retour depuis quelques mois mais en plus le modèle original, celui de chez Clarks fête ses 60 années d’existence!
 
Et si on célébrait ça en grandes pompes nous aussi?
Comment?
Avec un chouette concours pardi!
Des modèles collectors à gagner, offerts par Sarenza, pour soi… et pour son bien-aimé!
Cette fois, personne n’est oublié!

(suite…)

- Montre-moi ton look #5: t’as le look Bobo

Ca faisait environ 7 ans que je devais le poster, ce « Montre moi ton look bohèmisant hippie chicophile », c’est aujourd’hui chose faite!

 

J’espère ne pas avoir oublié trop de demoiselles en route, étant la fille la plus bordélique que la terre ait portée, j’ai eu beaucoup de mal à retrouver tous les emails et photos qu’on m’avait envoyé.

 

Shame on me?

 

Shame on me.

 

Allez, je vous laisse avec nos hippies en herbe qui se fume pas, faudrait tout de même pas pousser mémé dans la ganja. 

 

Maythinie:

 

 

 

Ce qu’elle dit de son look: 

« Voici un petit look bohème hippisant concocté grâce aux ventes privées pour la robe longue. Une robe à l’imprimé cashmir, pour nous emmener aux sons de la cithar, quelques bijoux pour faire brelingbrelingbreling, et des tongs en ‘couir’. Cuir me dites vous, mmmm, je « rockise » un peu tout ça, un veston, un blouson en cuir, et nous voilà à Woodstock, les bras en l’air en train de chanter avec jefferson Airplane. Ho, mais dites donc, le temps se gâte, le petit érable va bien, bon, finalement, je vais rester chez moi

robe : Sandro
tongs (c’est pas moche tongs?sandales, nus-pieds) : ramenées d’Inde par mon amie Sohini
veston : H&M
blouson (faux-)cuir : H&M
bijoux : vintage, vintage (merci à ma mamie, qui s’est gentillement laissée dépouillée de quelques breloques), Tassia Canellis »

 

 

Marieand:

 

 

 

 

Aude:

 

 

 

Ce qu’elle dit de son look:

 » Plus que l’achat lui même, ce que j’aime, c’est fouiller, dénicher LA fringue qui ne tape pas forcément dans l’oeil au premier regard.
Quand le vêtement est trop évident (en vitrine de h&m ou zara par exemple) il perd un peu de son intérêt pour moi…
Mon lieu d’investigation préféré, c’est sans hésiter le dressing de ma mère; elle garde absolument tout depuis ses 20 ans.
C’est là que j’ai trouvé la combinaison sarouel que je porte sur ces photos, achetée alors que je n’étais même pas encore née…
Quand je l’ai essayée, croyant atteindre le sommet du kitch, son potentiel m’a brutalement sauté aux yeux. Je la trouve à la fois originale et actuelle,
autant du point de vue de la coupe que de l’imprimé, et le dos-nu lui donne sa touche en plus. Moralité: ne jamais se débarrasser de ses vieilles fringues,
même si elles semblent hideuses sur le coup. En mode, il n’y a vraiment pas de date de péremption.
 Les compensées  en cuir et bois (Jonak) proviennent d’un dépôt-vente: pratiquement neuves, à presque la motié de leur prix d’origine.
D’habitude, j’évite les talons avec mon 1m80, mais avec celles-ci m’obligent à faire une exception. Elles vont avec tout, et sont extrêmement confortables. »
 

 

 

 

Bakélite (Emilie):

  

 

 

Ce qu’elle dit de son look:

« Voici ma version personnelle d’un look bobo-folk… « home-made » :
J’ai moi aussi succombé à la vague de tissu Liberty qui déferle ce printemps : j’adore le côté un peu sage et désuet de ce tissu, qui peut être hippy chic mais aussi rock selon la façon dont on l’accessoirise.

Comme je ne trouvais pas le modèle de mes rêves (je suis très exigeante), j’ai décidé de me le coudre, avec un coupon de Liberty commandé sur internet. Voici donc ma petite robe en Liberty, toute simple, avec des plis plats sur le devant.  Pour un petit week-end à la campagne, elle devient très « champêtre », grâce à ma ceinture tressée préférée (Monoprix, même pas en cuir mais elle trompe bien son monde !), une paire de sandales New Look (bon d’accord on ne les voit pas sur la photo, mais si si elles sont très chouettes), et un chapeau de paille Urban Outfitters. Pour l’automne je la verrais bien avec des collants opaques et des low boots noirs, et un petit blouson en cuir, mais aujourd’hui il fait décidément trop beau ! »

 

 

Léa:

 

Ce qu’elle dit de son look:

« Voici un look que je qualifierais de hippie-bobo-un-poil-chic.

La jupe est réversible et je l’ai dégotée au marché à Malaga (Espagne)
La veste et le chemisier sont de chez le suédois
Les shoes sont vintage
La pochette de chez accesorize

La photo a été prise un dimanche devant le musée de la photo de Tokyo. »

 

 

 

Emilie:

 

 

Ce qu’elle dit de son look:

« Je cherchais à investir dans une robe longue depuis un bail. Sauf que je ne trouvais pas la robe qui me plaisait…jusqu’à ce que j’entre chez Bershka et que j’essaye cette robe. Dans la cabine, j’ai eu une révélation. Ok, cette robe fait très « 14 juillet » mais accessoirisée, me voilà toute pimpante pour un apéro…  En la portant, je me sens chic mais surtout bohème. Et puis, la robe ne coutait que 39€, donc je ne me mouillais pas vraiment en l’achetant. Sauf que depuis, bah… je suis accro et je cherche à aggrandir ma collection ! Je n’ai qu’un mot à dire : vivement les grosses châleurs (pour pouvoir en porter tous le temps). »

 

 

 

Voilà pour cette fois, j’attends vos photos et textes pour le prochain « montre-moi ton look ».

 

Vous voulez un thème?

Ok, et pourquoi pas: « Voilà l’été »?

 

Allez, on sort les robettes, les gambettes, les shorts et les liquettes! 

 

Faites plaisir à votre Punkette mes poulettes! 

 

 

 

 

- Swildens me fait swinguer la tête

S’il y en a bien une qui a bien su saisir au vol absolument toutes mes envies du moment, c’est bien Juliette.

Juliette qui? Juliette Swildens, la créatrice de la marque Swildens, oui je sais, c’est fou cette coïncidence…

Alors notre Juliette, elle nous pond une collection qui peut paraître sans prétention mais qui cache bien son jeu. Oh que oui!

Chaque pièce est un Must-have en puissance! D’ailleurs, chaque pièce I MUST HAVE. Comme ça, c’est dit.

Pourquoi tant d’amour me direz-vous? Depuis quand je fais des éloges sans donner des preuves de ce que j’avance moi? On aura tout vu.

Mais toi, lectrice (lecteur?) tu ne tolères pas qu’on te fasse gober n’importe quoi.

Tu veux du visuel, tu veux en prendre plein les mirettes, tu en veux encore et encore et… tu as raison.

 

Premier coup de coeur, les photos type « street style ». Ca j’aime bien.

 

 

 

Ensuite, on se penche un peu plus sur ce que porte la demoiselle.

Et là, on voit qu’il y a tout.

Du blouson gris en cuir mou, de la frange balenciaguesque sur les zips, bref, de la tuerie de zonblou que j’ai envie de porter là, tout de suite, même si je suis encore en pyjama.

 

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De la frange, encore, mais sur de la pochette. J’ai envie de mettre de la frange partout moi, pas vous ?

 

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Ne parlons même pas de la jupe. Longue. Fleurie liberty. Rouge.  Je suis plus prête que jamais à adopter le balayage de plancher si c’est avec une pièce aussi bien pensée.

A porter avec un tee shirt un peu fatigué et un ceinturon vintage. Ou même avec ce tee-shirt col V so rock comme Juliette sait si bien les dessiner.

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Pour celles qui ne veulent pas passer au long mais qui aiment la fleurette, il y a la blousette plutôt très chouette.

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De la sandalette? Ouep, même qu’elle est à frangettes la coquette.

 

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Alors, des adeptes?

PS: Swildens a ouvert une nouvelle boutique au 38 rue Madame dans le 6ème à Paris. Et pour les non-parisiennes, on trouve quelques jolies pièces sur Shoppingparismode et sur Rushcollection.

Moi aussi je vous aime.

- 3 jupes, 20 euros, et je peux encore remplir le frigo!

Depuis quelques mois, je peux difficilement passer quelques jours à Paris sans étancher ma soif de vintageries et autres fripes.

Evidemment, au début, la friperie fait un peu peur.

On « sent » le potentiel d’une caverne d’Ali Baba mais on n’est pas sûr de trouver le trésor enfoui parmi les pacotilles. 

Les débuts sont en général plus faciles en s’attaquant aux accessoires: les sacs, pochettes et autres ceintures sont parfaits pour se faire la main et être heureuse de sa trouvaille sans trop de mauvaises surprises au final.

Ensuite, quand on se « sent » plus  à l’aise avec l’univers de la friperie et surtout lorsqu’on a un peu de temps devant soi pour plonger dans les kilos de fringues dont débordent littéralement les portants, on se lance dans l’aventure, la vraie. Le décorticage de portant.

Il arrive au début qu’on se laisse piéger par une envie de motif particulier en oubliant complètement de vérifier la matière.

En effet, la fripe fait la part belle à l’acrylique et autre polyester, ce qui, en général est plutôt à éviter.

Les cotons, soies et lainages sont à privilégier, d’abord pour l’aspect et la qualité puis également car l’odeur qui règne dans la friperie et qui impreigne les vêtements disparaît beaucoup plus facilement au lavage pour les matières précédemment citées.

Bon, je n’avais pas prévu du tout de vous faire un petit cours sur « comment se débrouiller en friperie », je me laisse emporter par mes mots, surtout que je suis loin d’être une experte. Je tatonne, j’expérimente, je fouille et re-fouille mais ce qui est sûr, c’est que j’adore ça!

Je ne suis pas encore assez sûre de moi pour tenter les pièces très fortes que parfois j’ai pu repérer au détour d’un portant, sur une fille ultra lookée dans la rue ou chez tel ou tel de nos « style hunters ».

Non, chaque chose en son temps.

Mais je commence à développer mon odorat (qui pourtant est bien mis à mal dans une friperie, ne nous voilons pas la face mais bouchons nous plutôt le nez) et à éduquer mon radar à bons plans pour qu’il puisse se débrouiller en terre moins facile que la boutique lambda où le neuf est roi.

Dimanche après-midi dernier, je me sens mûre pour me faire un petit « fripping ».

J’ai le porte monnaie en berne, certes, mais j’ai envie de nouveauté.

Et qui dit nouveauté dit vieilleries, une fois n’est pas coutume. Car ce que j’ai déniché cet après-midi là est loin d’être tout jeune. 

Je me focalise sur les jupes. Bizarre…

Par contre, les longueurs sont impossibles. C’est du sous genou pour la plus courte, voire du mi-mollet pour la plus longue.

Moi, tailler dans une jupe et coudre un nouvel ourlet? Autant me demander de renoncer à vous parler de mode. J’en suis incapable.

Alors je décide de faire de ma « platitude attitude » un petit « plus » pour une fois et je transforme tout ça en un top et deux robes.

Le résultat me plaît plutôt pas mal!

Mes jupes font de parfaites robes bustier habillées en plus par l’imprimé fleuri so Liberty destiné à envahir nos penderies. 

Jupe portée en robe vintage, veste propotype Et Vous, ceinture et collants H&M, escarpins Isabel Marant et collier Eva Gozlan 

 

Jupe vintage portée en robe bustier, ceinture fine COS, collants H&M, wedges vernies New Look 

 

 Jupe vintage portée en robe bustier, Perfecto Free People, collants et pochette H&M, low boots Gaspard Yurkievich

Quant à la jupe rayée, vous connaisses mon amour immodéré pour le look matelot donc le top ceinturé haut comme il faut et « Hissez haut, Santiano »!

Jupe vintage portée en top, ceinture en tissu Comptoir des cotonniers, jean large Mim, collier Eva Gozlan 
 
 
Même tenue réhaussée de mon foulard fleuri chéri H&M. Un mix rayures/fleurettes qui me plaît beaucoup.

Alors, tentées d’aller friper?