Quand je vous disais que j’avais, depuis quelques temps, l’envie et le besoin de laisser un peu de répit à mes petons et d’oublier parfois les talons vertigineux qui peuvent à la longue être assez douloureux?
En voici la preuve par deux.
Plus plat, tu ne peux pas.
Zéro talon et pourtant aucune impression d’être au ras de pâquerettes niveau look, alors pourquoi continuer à le nier?
Le plat n’est pas l’ennemi de la féminité, qu’est-ce que c’est que cette idée?
Il n’est pas non plus un frein pour adopter un petit look sagement rock, encore faut-il trouver les justes détails qui font la différence et transformeront vos plateries en petits bijoux qui rendent fou!
Ok, j’en fais des caisses, vous me connaissez, la demie mesure, très peu pour moi.
Quand j’aime, je ne compte pas les superlatifs et c’est à profusion que viennent les qualificatifs sur mes ornements de petons!
Trève de lourdesses, allons à l’essentiel!
Ma première trouvaille, c’est vraiment le bon plan absolu.
Les spartiates, on en mange à tous les repas depuis pas mal d’étés, c’est un fait.
Se renouveler un peu n’était pas une mauvaise idée tout en gardant l’essentiel: le design de la sandale so comfy qu’on adore enfiler.
Résultat, j’ai trouvé mes nouvelles compagnes chez Bershka.
Du cuir, déjà, la couleur taupe, en plus et cherry on the cake, les petits clous en rang d’oignons sur les lanières.
Plutôt sympathiques ces petites plateries, surtout pour 39,95€, pas de quoi vendre son entière fraterie!
Sinon, pour celles qui ne les auraient pas encore croisées sur les splendides visuels de leur campagne de pub de cet été ou chez ma Bali qui a forcément craqué (en ma présence et en terre Lorraine s’il vous plaît) il y a ces petites tueries coquelicot de chez Minelli.
Un design parfait, un cuir d’une douceur digne d’un fessier de bébé, la petite guêtre sur la cheville qui, alliée au plat de la chaussure en fait un modèle à la fois pointu tout en gardant un confort absolu.
79,90€ complètement justifiés car personnellement, je ne peux déjà plus m’en passer…
Si je vous dis qu’aux ventes presse des Prairies de Paris, on m’a plusieurs fois demandé d’où elles venaient?
Au vu de la faune fashion qui s’y pressait, je peux vous dire qu’elles font plutôt bien la blague, ces petites beautés…
Comme quoi, le snobisme c’est parfois de pouvoir annoncer fièrement qu’on a trouvé ses jolies chaussures dans une chaîne de magasins qu’on trouve dans chaque petit recoin de notre joli pays, foi de Punky b!
Edit: Merci à la gentille Chloé de m’avoir corrigée (pas fouettée hein, juste donné une précision sur une erreur que j’aivais faite tout ça pour ajouter une rime à ma prose… Ma poésie me perdra AH AH AH! 🙂
64 commentaires