- Desperately seeking Susan (ou plutôt son sac)

 

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C’est TOUJOURS la même histoire avec moi…

 

C’est d’ailleurs tellement TOUJOURS la même histoire que ça en devient presque drôle, même si ça me rend complètement lady gaga.

J’ai la fâcheuse habitude de réfléchir MILLE ANS lorsque je flashe sur une pièce.

 

Je parle du VRAI flash, le CRUSH énorme, l’arrêt sur image, le genre de moment où le ciel pourrait s’ouvrir et pointer un rayon de soleil énorme sur l’objet convoité avec quelques « alleluia » en prime en backing vocals.

 

C’est bon, vous avez bien l’image en tête??

 

Voilà, donc autant je peux parfois me ruer sur quelques fringues au potentiel tout à fait discutable et passer illico à la caisse sans trop me poser de questions, autant pour ce que j’aime à la folie, il me faut toujours un temps plus ou moins long de réflexion pour passer à l’acte.

 

J’ai besoin d’aller voir plusieurs fois la pièce en question, que ce soit en vrai de vrai ou sur un site quelconque.

 

J’ai besoin d’y penser, de peser le pour et le contre (même quand il n’y en a pas, de contre, cherchez l’erreur), de réfléchir encore et encore…

 

Et puis ensuite, seulement après moult délibérations et tergiversations, je fonce.

 

Ou pas.

 

Car généralement, le temps que j’aie pu écrire ma thèse en 12 volumes sur le sujet, il va de soi que la pièce en question est SOLD OUT!!!

 

Evidemment stupida (auto-insulte), elle était canon!!!

 

 

Ma dernière bourde en date est plutôt pas mal…

 

Ce sac Topshop, grand, en très beau cuir noir, sobre et pourtant incroyablement désirable avec ses clous « à la Balenciaga » sur les côtés et sous la bête.

 

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Je l’ai vu pour la première fois chez Topshop, directement à la boutique.

 

Repérage, arrêt, contournement de la bête, sous-pesage, évaluation des défauts potentiels, examination minutieuse des moindres recoins, essai en porté main, épaule, à la saignée du coude (so 2006) bref je n’y vais pas de main morte tout cela pour en conclure la chose suivante: il me le FAUT.

 

Evidemment, je le repose (!!) et me dis que je le commanderai en rentrant à la maison (pourquoi l’embarquer tout de suite alors qu’on peut payer les frais de port en plus, hein, franchement????)

 

Une fois rentrée en France, je me rue sur le site.

 

C’est bon, il est toujours là.

 

Il est toujours aussi beau et désirable.

 

Il me le FAUT.


Je ne le commande pas.

 

Ca dure une bonne semaine.

 

Puis vendredi dernier, je sens qu’il est temps de passer ma commande.

 

Je clique sur la photo du sac et cherche en vain le bouton pour l’ajouter au panier.

 

SOLD OUT qu’ils me disent.


Evidemment.

 

Depuis, je vais 27 000 fois par jour vérifier qu’il ne refait pas une apparition miraculeuse.

 

Je l’ai même cherché, en vain, sur ebay.

 

Alors bon, inutile de vous dire que si l’une d’entre-vous l’aperçoit quelque part, que ce soit de nouveau sur Topshop ou même sur ebay, qu’elle n’hésite pas à faire un petit signe à sa Punky b!

 

En vous remerciant…

 

PS: Un grand merci à Lolo et à son commentaire grâce auquel j’ai pu remettre la main sur les géniales sandales multi-sangles Topshop qui m’avaient échappé exactement pour les mêmes raisons que le sac…

 

No comment…

 

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