- IROquoise

Bon, comme le veut la tradition soulacaise*, quand ça veut pas, ben ça veut pas.
Après un samedi brouilleur de piste qui nous a laissé croire qu’on avait vraiment de la chance avec le temps, le dimanche fût là pour nous remettre les pendules à l’heure : on est bien sur la côte atlantique et pas à Calvi les gars !
Le soleil, c’est pas du « tout cuit » et même si il a fait quelques brèves apparitions dimanche (comme au moment des photos par exemple) hé bien il est loin d’être acquis le gaillard…
Trève de considérations météo absolument inintéressantes pour les non vacanciers du coin, place au look du jour dernier, histoire de donner un semblant de ton mode ici.
- Les vacances, enfin!

A l’heure où vous lirez ces quelques lignes, je serai déjà partie, une valise pleine à craquer (remplie de fringues dont je ne porterai pas la moitié), mon éternel thermos de thé à mes côtés, aussi excitée de me rendre à ma station balnéaire préférée que je l’étais déjà lorsque je n’étais qu’une petite brunette un peu boulotte de 8 ans.
Non, ça ne nous rajeunit pas, quoi que…
Là-bas, le temps est comme suspendu tellement ce lieu me rappelle des milliards de souvenirs tous plus mythiques (pour moi) les uns que les autres.
Ma première brasse, un matin, abandonnant ma bouée au bord de l’eau.
Ma première virée nocturne sans que mes parents le sachent (sortie en slip sur le balcon pour m’habiller sans réveiller la maisonnée!)
Mon premier chantage, infligé par ma petite soeur pour ne pas révéler ces sorties noctures (ordure! 🙂
Ma « première fois » tout court (oui, oui, vous avez bien lu, avec un anglais qui s’appelait Jody et qui avait un tee-shirt de Nirvana, comble de la coolitude à l’époque…) et j’en passe…
En clair, c’est un peu ma madeleine de Proust que ce lieu qui a finalement si peu changé depuis maintenant plus de 20 années que je m’y rends presque chaque été.
Alors oui, je vous abandonne mais pas totalement car je prends mon petit ordimini avec moi.
Je sais pertinemment que j’aurai envie de vous faire coucou entre la plage et l’apéro, entre les chateaux de sable et la glace maison du célèbre Judici local.
Alors n’oubliez pas de venir faire un petit tour chez votre Punky, en vacances mais jamais totalement partie, en bonne accro à son blogounet devant l’éternel.
Je peux déjà vous annoncer que j’aurai besoin de l’une d’entre-vous, le jeudi 30 juillet, pour un très chouette projet dont je vous parlerai dans les détails la semaine prochaine…
Sur ce, je vous souhaite une délicieuse journée et je vous dis à très vite, peut-être même déjà ce week-end si je trouve le temps de faire quelques clichés!
- As simple as that

Certaines pièces donnent vraiment du fil à retordre.
Elles sont tellement difficiles à porter que cela devient un véritable casse-tête de les sortir du dressing et de les mixer à d’autres pour que le rendu soit harmonieux.
D’autres, par contre, sont tellement évidentes portées toutes seules, presque sans autre compagnon qu’une paire de chaussures (on peut difficilement marcher pieds nus dans notre contrée), que je me sens limite honteuse de vous les donner en pâture ici.
Pourquoi?
- Mon bras droit d’Outre-Manche

Mardi 23 juin, 21h et quelques, je suis dans le TGV, mon téléphone sonne.
C’est Kap, ma copinette de Londres.
Damn it, je ne peux pas répondre, je suis dans le train for God’s sake!
Je laisse « sonner » à regrets (mon tel est sur silencieux) et attends le message.
En l’écoutant, j’évalue l’extrême urgence de la situation et brave les interdits au péril de ma vie, oui, de ma VIE et la rappelle illico presto, sous le regard excédé de ma voisine de siège.
- Resultats et petite précision capillaire!

Commençons par ici, voulez-vous?
J’ai bien ri, pendant les 2 jours de ce concours, pas à cause de vos réponses, vous les aviez presque toutes trouvées (à part 2 ou 3 qui n’ont manifestement pas copié sur les autres, elles! 😉
J’ai ri car certaines d’entre-vous ont cru que c’était moi, la brune sur la photo, avec les cheveux au carré!