- Leopard & vernis prune noire

vernis.jpg

 

Après le petit succès du vernis que je porte sur les photos de mon article précédent (serait-ce parce qu’il n’y avait pas grand-chose d’autre à remarquer?) et ma réponse légèrement passée inaperçue dans les commentaires, j’ai décidé de faire un point sur ce produit qui est effectivement plutôt une bonne acquisition!

 

En plus ca fera plaisir à the beautiful bidon entre autres et ça, c’est déjà un régal en soi!

 

 

On commence directement par la bonne nouvelle: il coûte 6,20€, c’est le couleur multi action numéro 10 « pure prune » de Sephora, annoncé comme durcisseur, fortifiant et lissant.

 

Je ne sais pas si il est spécialement lissant car je n’ai pas de problèmes d’ongles mais ce qui est certain c’est que je l’ai acheté pour sa couleur que je trouvais canon, très profonde et qu’à l’usage je l’aime encore plus pour sa tenue et son soin durcisseur.

 

C’est bien simple, j’ai des ongles en béton armé.

 

Vous me connaissez (pour la plupart) plutôt bien et savez que je parle rarement de produits de beauté ici (je suis plus volubile quand il s’agit de mode, que voulez-vous) mais ce vernis je vous le multi conseille, il est vraiment top et son prix riquiqui, rien de tel pour combler votre Punky!

 

Cerise noire sur le gâteau, petit « outfit of the day before yesterday » (nouveau concept!) j’ai complèté mon basic look de l’article précédent avec mon cheapy gilet léopardé qui s’acoquine divinement avec la couleur prune du tee-shirt Zaramerican Vintage.

 

basic1.jpg

Easy boostage de tenue basique en lui ajoutant la juste de touche de félin qui va bien.

 

 

Sur ce, bon week-end mes beautés!

 

PS: Surveillez le Nettoyage de printemps, il y aura certainement du réassort.

- Basic instinct

basic5.jpg

 

Je vous avais prévenues, mon shopping anversois s’est révélé très… chiant? Ou plutôt basique, sans risque, un tantinet classique, un chouia déjà vu?

 

Je le sais pertinemment, et pourtant, j’en suis plutôt ravie.

 

La couleur navy, la maille, le double boutonnage façon caban, le point mousse, l’écharpe détachable (genius idea!) bref, du basique on est d’accord mais je ne résiste pas à une pièce qui va me sauver la mise un nombre incalculable de fois, je le sens, je le sais, voilà.

 

Aujourd’hui, par exemple, c’est typiquement une journée « sans », celle où j’ai autant envie de me looker que d’aller à un concert de Céline Dion voire pire, ah non, pardon, y’a pas.

 

Aujourd’hui donc, le basique est nécessairement mon meilleur ami.

 

En l’enfilant je sais que je ne serai ni hype ni has been, que je ne ferai pas de fashion faux pas ni de coup d’éclat non plus.

 

On s’en fiche, on veut juste s’habiller sans que personne ne nous remarque, ni dans le bon, ni dans le mauvais sens et ça tombe bien, c’est du passe-partout sans pour autant ressembler au nain de Fort Boyard.

 

On a les références que l’on mérite.

 

basic4.jpg
basic6.jpg

 

Ce gilet/veste, il est parfait pour ces fameux jours, il va avec tout (quelle couleur ne va pas avec le bleu marine? le noir? Perdu, c’est fini cette légende…) il tient chaud, il a une jolie coupe et franchement, c’est tout ce qu’on lui demande.

 

Si vous ajoutez à cela un des fameux tee shirts en coton tramé que notre spanish friend nous a honteusement pompé sur les modèles des rois du vintage marseillais (Zara and American Vintage pour celles qui ne comprennent rien à ce que je raconte ce qui est NORMAL, je surkiffe la digression aujourd’hui) et que j’ai pris en taille L histoire de nager dedans, vous obtiendrez une tenue que l’imposture que je suis aime tellement porter au quotidien.

 

basic8.jpg
basic7.jpg

 

Oui, j’aime toujours autant le basique et je le revendique.

 

Promis, demain, je me mettrai quelques plumes dans l’arrière train histoire de redorer mon blason de blogueuse fashion.

 

 

 

Gilet: COS

Tee Shirt: zara

Jupe: Vanessa Bruno

Collants: Primark

Camarguaises: Vintage

- Balenciagaddicted

balenciagaddicted.jpg

Quels sont les it-bags de la saison?

 

Et si je vous avouais que je n’en ai pas la moindre idée?

 

J‘ai certainement croisé l’un ou l’autre nouveau joujou/doudou des « porte-sacs du show-biz », j’ai nommé les it-girls et autres starlettes Hollywoodiennes, c’est certain.

 

Je suis comme la plupart d’entre-vous, je ne dis jamais non quand il s’agit de savoir qui porte quoi.

 

Mais le fait que la plupart d’entre-elles reçoivent les nouveautés uniquement pour les montrer aux clientes potentielles que nous sommes toutes et se transformer ainsi en page de pub ambulante m’enlève partiellement la jalousie que je pourrais éventuellement éprouver en les voyant avec leur it-graal.

 

J’ai donc aperçu les soit-disant « must-have que si tu les a pas t’es trop pas trendy » mais aucun, je dis bien aucun ne m’a particulièrement donné envie d’investir.

 

Le prix dément de ces sacs combiné à leur durée de hypitude de plus en plus courte n’est qu’un élément de plus en leur défaveur.

 

Moi, si j’investis, j’opterais plutôt pour un sac qui me donne toujours envie de le porter, même après des mois, voire des années.

 

C’est le cas de mon Day de Balenciaga, acheté en janvier dernier et porté tous les jours ou presque depuis, malgré les dizaines d’autres qui peuplent ma malle à sacs.

 

J’ai une vraie passion pour les modèles que l’on pourrait qualifier de « classiques » de chez Balenciaga.

 

Depuis leur apparition il y a quelques années et mon premier arrêt cardiaque en découvrant le « Motorcycle », son nom de l’époque, je n’ai jamais cessé de lorgner sur ses différentes déclinaisons, en particulier les modèles City et Work, toujours plus attirée par les grandes contenances.

 

city navy.jpeg
Balenciaga City, couleur navy
work charcoal grey.jpg
Balenciaga Work, couleur charcoal grey

 

Je pensais que grâce au Day que j’adore, je passerais à autre chose.

 

Je croyais naïvement qu’au moment de le laisser respirer afin de ne pas le défoncer définitivement (je ne suis pas une tendre, même avec ce (ceux?) que j’aime) je réussirais à changer de cap et aller voir ailleurs si j’y suis avec un autre modèle plus… actuel?

 

Perdu.

 

Toujours et encore bloquée en mode Punky B, plus que jamais synonyme de Balenciaga.

 

Maintenant, reste à choisir qui de vous 2, mes chers City et Work, sortira vainqueur de ce duel au sommet et pendra négligemment à mon bras pendant les 10 prochaines années.

 

Le budget? Quel budget?

 

Je ne vois vraiment pas de quoi vous voulez parler…

 

 

Quoi qu’il en soit, on peut rêver… ou se faire un petit braquage de BNP.

 

Ah non, les caisses, même d’Epargne, sont vides, j’avais presque oublié…

 

 

Merci à ma chère Angéline et son illustration que j’adore, réalisée spécialement pour cet article!

- Louise’s jewels

louise3.jpg

 

Un petit tour des blogs et rien, rien, rien sur Louise Hendricks?

 

A peine un petit blog-it express chez Marie qui vous annonce la vente sur Chic Dressing d’une de mes créatrices de bijoux préférées, je fais donc les choses en plus grand, pour que vous ne ratiez pas le coche vous non plus.

 

Louise fait de très jolies pièces au style plutôt bohème but chic, des bijoux sobres mais avec toujours le petit détail qui fait qu’on craque, des pierres semi-précieuses, du bronze, du laiton doré

 

Bref, des bijoux qui me plaisent énormément, moi qui ne suis pourtant pas une femme à bijoux, je fais en général dans le minimalisme, voire l’absence presque totale d’ornements, ma paresse m’entraînant toujours irrémédiablement sur la pente du less is more.

 

J’ai déjà craqué sur le sautoir que vous pouvez voir en ouverture de ce billet, mon blocage actuel sur le violet m’a naturellement menée vers les améthystes de ce collier.

 

Voici d’autres petites mignonneries que je vais tenter de NE PAS commander…

Good luck to me…

 

louise1.jpg
Boucles d’oreilles Babylone, Agate et Améthyste, 42€ au lieu de 63
louise2.jpg
Bracelet Babylone Agate noire et bronze, 42€ au lieu de 63

 

Pour celles qui veulent un parrainage, comme d’habitude, vous m’envoyez un email et je vous inscris illico (geraldinegrisey@gmail.com).

 

Pour celles qui veulent commander et zapper les frais de port (c’est toujours agréable) un code à saisir: punkyb5

 

Pour celles qui veulent qu’on parle de chose ultra sérieuses et déterminantes (de sacs, encore) c’est ici même et c’est demain!

- Mon premier « it bag »

tanns7.jpg

Vous pensiez que j’allais dégaîner un 2.55, un Muse 2 ou encore plus fou (et loin de mes goûts) un Kelly?

 

Que nenni!

 

Votre Punky, lors d’un passage chez son papa et sa maman a retrouvé son premier sac adoré, son it-bag de cours de récré, j’ai nommé le petit Tann’s à bandoulière!

 

tanns6.jpg

 

Ah, je vois déjà l’air perdu des plus jeunes d’entre vous: « c’est quoi ce Tann’s de l’ère glaciaire? Je la connais pas cette marque de mémère « , ok, ok, quand je portais mon premier « it sac », certaines d’entre-vous portaient plutôt des couches Pampers.

 

Mais quel plaisir, croyez-moi sur parole, de retrouver ce petit morceau de cuir qui m’avait fait vivre mes premiers émois de fille à sacs!

 

Vous n’imaginez pas comme j’étais fière de me trimballer mon petit Tann’s en daim bleu et cuir naturel, je me sentais… grande!

Tout simplement!

 

C’est d’ailleurs toujours la sensation qu’on éprouve lorsqu’on a trouvé le sac qui nous plaît et nous ressemble non?

Cette petite pointe de fierté, marque indéniable de notre satisfaction, cette confiance (pourtant complètement injustifiée) qu’on ressent lorsqu’on arbore LE sac, THE it-bag?

Mais si, mais si…

 

 

Ne me dites pas que vous n’avez pas eu d’expériences similaires avec votre premier « vrai » sac, le very first qui a compté dans votre vie de fillette future bagoholic comme nous le sommes toutes devenues?

 

J’avais envie de partager cette madeleine avec vous en cette veille ou quasi de nouvelle adoption de sac justement (je vous en reparle demain).

 

Vous verrez que finalement, rien ne remplace un bon vieux classique et que le « it bag » en ce qui me concerne est bel et bien un concept plus que out.

 

Promis, je développe ma théorie sur le sujet demain.

 

Je vous laisse avec vos souvenirs de premiers émois bag-esques…

 

- Un oubli et une promesse

top3.jpg

 

Rien depuis jeudi?

 

Mais c’est les vacances ou quoi ici?

 

 

Pas vraiment non, même si ça ferait du bien à votre vieille blogueuse quelques jours vraiment off.

 

Un vendredi parisien très chargé (dont vous verrez le résultat bientôt, espérons qu’il soit réussi!) puis un enchaînement direct sur un week-end belge et plus précisément anversois.

 

Au programme: des amis qu’on aimerait voir plus souvent, de l’expo comme on aimerait qu’il y en ait beaucoup plus et du shopping qu’on aurait souhaité plus… efficace?

 

Nevermind, je suis bel et bien de retour avec moult petites choses dont j’ai envie de vous parler mais pour cela il faudra attendre demain.

 

Pour patienter, je vous laisse avec une 3ème variation du look grungy cow boy de jeudi dernier que j’avais tout bonnement oublié d’ajouter à la précédente série!

C’est plutôt dommage car quelque part, c’est le look qui me parle le plus!

J’aime par dessus tout ce mélange de paillettes et de chemise à carreaux, les 2 cohabitent tellement bien malgré le style opposé qu’ils ont à la base.

 

top5.jpg
top1.jpg

 

 

Que celles qui pensent Alzheimer se rassurent… Elles ont tout à fait raison!

Oublier un look dans une série qui n’en comporte que 3, c’est un peu le début de la (ma?) fin.

 

Sur ce, des bisous et à demain… si je n’oublie pas que je vous l’ai promis durant la nuit!

photographe bebe comment bien s'habiller personal shopper paris