- A.V l’accent marseillais

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Foncez, si ça n’est pas encore fait, sur le site de nos marseillais préférés!

Lesquels?

 

American Vintage, les ricains du sud de notre contrée.

 

Pourquoi faut-il se ruer sur leur e-boutique??

 

Tout leur stock est passé à 50% de réduction.

Louper cela? Hors de question.

 

Je suis défintivement complètement accro à leurs cotons délavés aux tons doux et passés. 

 

En voici une petite sélection, loin d’être exhaustive sinon tout le site y passait. 

 

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Moi ce sont les débardeurs que j’ai mis dans mon petit panier.
 
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Je ne les lâche plus, même portés seuls, sans aucun autre artifice.
 
 
Sous mes blouses trop transparentes, mes combishorts que j’aime porter ouverts, c’est une seconde peau dont je ne saurais plus me passer. 
 
 
Sur ce, je vous laisse foncer sur leur e-boutique déjà presque totalement dévalisée! 
 
 
 
PS: Ceci est un billet enregistré avant mon départ, je ne sais pas encore si j’aurai de la wifi à Fuerte! 🙂

- Un petit look et puis s’en va

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Décidément, jean large + blouse romantico bobo + franges, c’est un peu la easy formule que je mets à toutes les sauces en ce moment.

Surtout lorsque sauce est synonyme de pluie comme ces derniers jours et que les robettes sont un peu remisées aux oubliettes.

 

Alors j’enfile mon bon vieux copain Uniqlo, lui associe un top bobo un peu blanco, un gilet vintage en daim frangé plutôt simpatico et je dis banco, ça n’est pas la peine d’en rajouter, Gringo!

 

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Mini billet pour vous faire un dernier coucou avant mon départ pour une semaine de farniente bien méritée sous le soleil de Fuerteventura.

 

Au programme: piscine, plage de sable fin, bouquins, bouquins, bouquins et bouquins.

 

 

Si je peux me trouver une petite connexion là bas, je vous promets un ou deux petits billets ensoleillés.

 

Sinon je vous retrouverai avec plaisir le 20 juillet, la pilule dorée et le jambonneau cuit à point.

 

On se dit à très bientôt?

 

EDIT de 21h30: Bon, je n’ai pas pu résister, je vous ai enregistré un petit billet pour lundi matin, au cas où je ne puisse pas poster de là-bas!

A lundi donc! 🙂 

- Encore? Encore!

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Quoi?

Y’a un problème?

 

Si, si je sais parfaitement compter, je ne vois pas où est le problème, c’est tout.

 

2 articles, en 4 jours, qui parlent de sacs?

 

Un énième billet consacré à ma petite marque de maroquinerie marseillaise préférée?

 

Très franchement, je n’y suis pour rien du tout.

 

C’est eux, c’est leur faute à 100%.

 

Pourquoi? 

 

Les franges.

 

Vous connaissez ma passion pour les franges, mon addiction à la squaw attitude, mon fameux cri de guerre: « Punky b, frangée de la tête aux pieds »! 

 

Et bien Zin, ils sont allés nous mettre des franges sur presque chacun des modèles de leur collection été, tout simplement.

 

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Sac bandoulière beige et taupe irisé, 85€ au lieu de 170 
 
 
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Grand cabas beige en agneau: 140€ au lieu de 280 
 
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Grand sac bowling: 130€ au lieu de 208 
 
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Pochette taupe: 44€ au lieu de 88 

 

 

 

 

 

 

Emballé, c’est pesé, une Punky b définitivement charmée grâce à quelques peaux aussi douces que le fessier d’un bébé et à du cuir frangé aux teintes plutôt passées mais loin d’être dépassées.

 

La cerise sur le tipi?

 

Tous les sacs sont bradés, 50% de réduction pour la plupart, c’est sur Chic Dressing à partir d’aujourd’hui et comme le veut la tradition, avec le code « punkyb », point de frais d’expédition!

 

Pour celles qui ne seraient pas encore inscrites, je peux vous parrainer (un petit mail et c’est fait).

 

Pour les autres, je peux vous chanter des chansons, vous faire une danse de la pluie, vous inviter à fumer le calumet de la paix…

C’est comme vous voulez!

 

 

- En mode Punky b avec Daphné Bürki

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Pour finir en beauté et surtout en franche rigolade, la séquence dressing de la fabuleuse Daphné Bürki dans mon petit programme « En mode Punky b » est enfin en ligne!

 

 

 

J’ai passé un moment absolument succulent avec Daphné  (la chroniqueuse chargée des tendances sur l’émission La Matinale de Canal+) et son accessoire de mode favori, je ne vous dis que ça…

 

Il y aura de la déclaration choc, de la découverte de presque fashion faux-pas (mais finalement pas, sacrée Daphné), de la paillette à porter en journée et summum du scoop, de la tenue de célébrité en forme de bouteille de Perrier portée dans son clip so New Yorkais

 

Je vous laisse découvrir cette séquence tellement à l’image de Daphné, drôlissime et sans trace aucune d’une quelconque prise de melon…

 

Rien que ça, c’est tellement bon! 

- Blouses romantiques et jeans antiques

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Les froufrous, les pièces volantées aux couleurs poudrées ou sourdes, je trouve ça très joli sur les autres, ravissant sur cintre, somptueux sur la page glacée d’un magazine.

 

Sur moi, je n’y arrive pas.

 

 

Dieu sait que j’aime les défis et réussir à m’approprier des pièces qui a priori n’ont rien à faire dans mon dressing mais là, j’avoue, je coince totalement.

 

 

Je me sens déguisée, trop premier degré, j’ai l’impression d’être trop « romantico girly » et surtout de ne pas me reconnaître stylistiquement parlant.

 

Oui, rien que ça!

 

 

Le problème, c’est que j’en achète quand même, parfois, de ces pièces traîtres qui m’attirent dans leurs filets puis me jettent dans des abîmes de perplexité fashionistique. 

 

 

Alors je les regarde, toujours sur leur cintre.

J’essaye de les associer mentalement à tous les bas stockés dans mon placard mais rien n’y fait, tout me paraît too much, inadapté et… nul.

 

Jusqu’au jour où j’ai accepté de voir les choses en face et compris que ce creusage de méninges modesque était complètement vain et inutile.

 

Ce type de pièce, pour que je puisse le porter et l’assumer, il faut l’acoquiner avec la plus passe-partout et la plus basique des fringues de mon dressing: le bon vieux jean, tout simplement!

 

Alors bien sûr, le jean doit être le plus cool possible pour casser définitivement le côté trop habillé ou pseudo girly de la pièce en question.

 

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Ici, avec cette tunique en soie rose Virginie Castaway que je trouve splendide mais que je n’avais jamais réussi à porter, je me suis dit qu’un short en jean « home made » gentiment destroy (ok, avec quelques trous) pouvait faire la blague.

Une paire de sandales à franges pour définitivement passer du côté squaw de la force, un collier à plumes blanches Agnès b et le tour est joué.

 

On n’a pas forcément complètement abandonné le côté doux et frais de la tunique mais un peu de jean et de franges ne lui ont pas fait de mal!

 

Il a finalement été encore plus simple de m’approprier ce top volanté gris asphalte Zara.

 

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Il m’a tout de suite tapé dans l’oeil et je l’ai acheté tout en restant persuadée que j’étais encore une fois pile dans l’achat de la pièce fantasmée mais pas portable au quotidien.

 

Que nenni, un bon jean large confortable, une paire de sandales à plateaux pour éviter de trop tasser la silhouette, une pochette à franges qui aide encore une fois à sortir de ce style trop violemment volanté et pour finir, toujours quelques plumes mais de Paon cette fois et aux oreilles.

Et c’est tout.

 

C’est parfaitement assumable en journée et envisageable le soir, en jouant sur le côté habillé mais pas trop.

Avec le short en jean « home made« , ça le fait aussi, en y ajoutant la paire de Gladiators fatale qui nous emmène bien loin du romantisme ambiant de ce top à volants.

 

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Bref, on finit par réussir à se projeter dans ces pièces apparemment si éloignées de son vrai moi stylistique en restant justement dans la simplicité.

 

Le fameux adage « less is more » est finalement une évidence dans ce type de cas faussement épineux.

 

Plus de photos ici. 

 

- Billy vs Billy

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Jérôme,
 
Je suis excessivement déçue par ton comportement.
Tu as véritablement dépassé les bornes et je sais que je ne t’apprends rien.
Tu es parfaitement conscient de ce que tu fais et de ce que tu ME fais en particulier. 
 

 

En effet, tu savais pertinemment que je luttais depuis des mois pour me sortir définitivement un homme de la tête.

Un homme dont le prénom est sur toutes les lèvres, déjà convoité par des centaines et des centaines de filles…

 

 
Jusque là, j’étais plus ou moins protégée.
Protégée par la vacuité modesque de ma bonne vieille ville de province dans laquelle, malgré l’apparition régulière de nouvelles marques plutôt sympathiques, il était bien évidemment impossible de flairer la moindre odeur de cuir estampillé agricouture où que ce soit.
 
 
Mes multiples séjours en terre parisienne se soldant inévitablement par un retour sans le moindre Billy vert de mes rêves pendu à mon bras (jamais en boutique lorsque j’en franchissais le seuil), j’avais fini par me dire que lui et moi, on n’avait peut-être rien à faire ensemble.
 
 
Je pensais mon obsession pour lui morte pour de bon.
 
 
J’avais rangé Billy avec les autres it-trucs qui jadis avaient hanté mon micro-cerveau mais n’avaient jamais réussi à faire céder mon nano porte-monnaie.
 
 
Et là Jérôme, sentant ma faiblesse toujours présente malgré tout, tu as contre-attaqué plus fort que jamais.
 
 
Je ne m’y attendais tellement pas que tu as réussi à faire plier le roseau…
 
De là à le rompre?
Il n’y a qu’un pas. 
 
 
Ce qu’il s’est passé? 
 
 
Non seulement tu as élu quartier dans le mien, bien en évidence face aux escalators de mon Printemps messin.
 
Mais en plus, tu m’as collé pas un mais DEUX nouveaux coloris sous le nez qui rendent encore plus dur mon choix si un jour il doit être fait!
 
 
 

 

 
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Billy Pétrole 
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 Billy kaki
 
 
 
Je fais quoi, moi, maintenant que je suis à cinq minutes à pied de l’antre du démon et que mon obsession à repris du poil de la bête comme rarement auparavant?
 
 
Alors, Billy kaki ou Billy pétrole?
 
 
Vraiment Jérôme, tu vas finir par me rendre folle. 
 
 
Photos 1 et 2: Lookbook automne hiver 2008/2009 Jérôme Dreyfuss 

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