- Cette saison qu’on appelait été

 

C’est l’histoire d’une fille qui fait du shopping et qui tombe sur une petite robe qui lui remet soudain en mémoire que l’été, ça existe, dans certains pays en tout cas.

Cette fille aimerait bien que l’été revienne dans son pays à elle, elle se souvient qu’elle trouvait ça chouette, l’été.

Cette saison où les températures sont plus élevées, où elle peut gambader les jambonneaux à l’air, laisser ses doigts de pieds respirer, oublier les collants opaques (pourtant bien arrangeants « jambonnement parlant » mais c’est une autre histoire). Bref, saison où elle pourrait largement porter cette jolie petite robe qu’elle vient juste de croiser.
 
Comme cette fille est plutôt du genre optimiste (utopiste?), elle se dit que sur un malentendu, peut-être que l’été n’est pas un rêve si fou, qu’il finira bien par pointer le bout de son rayon de soleil un jour où l’autre, même si ça n’est que pour quelques heures.

Elle se dit qu’elle sera bien contente, si elle a raison, d’avoir succombé à cette petite chose à l’imprimé tie&dye qu’elle aime tant, au coton doux et aux finitions plutôt réussies pour un si petit prix.
 
Par contre, la voilà devant un petit problème.
La robe, quoi que tentante, a une drôle de longueur genou, moyennement justifiée pour ce type de vêtement et d’imprimé.

En plus, il ne reste plus que des grandes tailles, un peu trop larges pour cette fille si souvent surnommée « la planche à pain ».

 

 

 

 

Il en faudra plus pour la décourager, elle se dit qu’avec un long débardeur blanc sous la robe, le problème de décolleté ultra plongeant ne sera plus qu’un lointain souvenir.

Elle pense également que le souci de longueur pourra être réglé avec une petite ceinture en faisant blouser le haut de la robe et utilisant le grand volant du bas comme mini jupette.

 

 
 

Elle rentre chez elle, la précieuse petite chose en coton sous le bras, fait tout un tas d’essayages et se dit qu’elle a bien fait de craquer, finalement.

 
 

 
 
 
 
 
 
 
Par contre l’été, voire même cette autre saison pas si mal que ça, le « printemps » il paraît que ça s’appelle, ça vient, ou jamais?
 
 
Robe débardeur New Look

 
 
 

- Taajicien olfactif

 

 

 

Le plus fastidieux pour les gens de mon entourage qui veulent me faire un cadeau, c’est de tomber sur quelque chose qui, non seulement va me plaire mais en plus ne va pas faire double emploi.

Il ne me manque pas grand-chose car j’ai l’habitude de subvenir à mes besoins et surtout, je suis plutôt du genre à me faire plaisir.

 

Ma soeur, qui ne craint pas grand-chose ni grand-monde, a carrément choisi d’aller sur un terrain super glissant. 

Elle a décidé, à Noël dernier (et oui, pour vous lectrices de l’info ultra fraîche), de m’offrir des soins cosmétiques.

 

Quand ma mère, d’une discrétion légendaire (c’est de famille) a lâché le morceau peu de temps avant le réveillon, j’avoue que j’ai commencé par faire un peu la tronche.

Mais pourquoi diable avait-elle décidé de m’offrir une des seules choses que je possède en triple voire quadruple exemplaires dans ma salle de bains? 

Quelle drôle d’idée…

 

Le jour de Noêl, je reçois donc mon petit paquet, que j’ouvre sans hâte, vilaine que je suis. 

 

Et là, l’idiote qui sommeille (si peu) en moi se réveille quasi instantanément (dormait-elle vraiment?).

Ce packaging, mon dieu mais j’adore!  

Oh, ça va hein, que la première qui ne se laisse jamais attendrir par une jolie boi-boite avec des couleurs un peu girlies me jette le premier  pot de crème hydratante.

 

Puis j’ouvre le pot et là, la claque.

L’odeur de cette crème est hallucinante.

Imaginez un arbre de jasmin dans lequel vous vous enfouissez le visage.

C’est littéralement enivrant et surtout, je décèle immédiatement le potentiel addictif que cette crème va avoir sur moi. Je ne veux déjà plus entendre parler d’un autre hydratant. 

 

La texture n’est pas en reste, ultra hydratante et pas grasse une seule seconde. 

 

Elle n’est pas anti-rides? Qu’à celà ne tienne, l’essentiel pour préserver sa peau n’est-il pas de l’hydrater le mieux possible?

 

Déjà ultra emballée par la crème, je teste sur le dos de la main l’huile sèche « Bombaysque » (en plus des jeux de mots comme je les affectionne tant, I am combled!)

L’odeur est tout aussi indescriptible de gourmandise, une sorte de mélange de barbe à papa et d’encens.

Je sais, ça paraît improbable mais c’est renversant, tout comme la crème.

 

Je n’ai qu’une chose à ajouter à mon histoire cosméto sans fin, allez vous faire une idée des incroyables produits Taaj pour celles qui ne les ont jamais testés, c’est vraiment ma meilleur surprise beauté de ces derniers mois.

La très bonne nouvelle étant que ces produits, en plus d’être hautement désirables, sont véritablement bon marché (environ 26€ pour une crème).

 

Leur site est très bien fait, vous y trouverez tous les détails techniques dont je ne saurais vous entretenir, mes seules capacités descriptives cosmétiquement parlant se réduisant à « ça sent trooooooop bon et ma peau elle adooooooooore. »

On est scientifique dans l’âme ou on ne l’est pas. 

 

Les produits Taaj sont distribués dans les Monop’ et beauty Monop’, les Galeries Lafayette, les parashop et pharmacies. Liste des points de vente sur leur site.

- Shoes promises, shoes dûes!

 

Oublié.

Oui, j’avais complètement oublié de vous en reparler.

Et pourtant, au vu de vos réactions en les apercevant au détour de quelques photos de look la semaine dernière, elles titillaient gentiment la libido fashion de plusieurs d’entre-vous, mes petites spartiates à plateaux.

 

J’y ai repensé en tombant à nouveau sur elles dans un magazine, le Madame Figaro de samedi dernier pour être plus précise.

 

 

Les voilà en couleur corail (en haut à droite de l’image), absolument splendides aussi, loin d’avoir l’air cheap ou ridicules même mélangées à des modèles de 5 à presque 10 fois plus chers qu’elles.

 

Pourquoi ces spartiates sont celles qu’il nous faut absolument?

 

– Parce qu’elles sont en cuir et bois,

– parce qu’elles ont exactement la bonne forme et les bons détails (elles ne sont ni trop chargées ni trop simples),

– parce que le talon, malgré ses 11 cms (plateau inclus), est d’une incroyable stabilité tout en restant sexy en diable,

– parce qu’elles nous font presque oublier les Giuseppe Zanotti pour Isabel Marant qui nous obsèdent depuis son défilé printemps été 2008

 

Et, last but not least, parce qu’elles coûtent seulement 55€ et qu’elles sont déclinées en 4 couleurs: noir, marron, blanc et corail.

 

Where? Chez New Look.

 

Oui, je sais, c’est en banlieue, voire même en province.

 

Oui, je sais, il n’y en a pas partout en France.

 

Une seule solution, c’est de mandater vos copines parisiennes qui ont des voitures ou vos copines provinciales qui ont un New Look dans leur ville.

Car je peux vous dire que ma dernière descente là bas il y a une petite semaine fût plus que fructueuse…

Vous n’avez encore rien vu!

 

A bonnes entendeuses… salut! 

 

- De l’agneau tout doux, ça vous ZINtéresse?

C’est jeudi! C’est le retour du jeu de mot poussif dans le titre, ne dites pas que ça ne vous manquait pas!

Mais qui dit jeu de mots au rabais dit également prix au rabais sur les sacs Marseillais dont je vous reparle régulièrement: ZIN.

 

Pourquoi je vous en parle aujourd’hui?

Primo parce qu’il y a une vente ultra intéressante sur Chic dressing avec des prix plutôt yummy!

Secondo parce que pour en posséder un, je peux vous garantir que le rapport qualité prix est assez incroyable: le cuir d’agneau utilisé pour leurs sacs est d’une douceur à faire passer le fessier d’un nourrisson pour du papier de verre!

Et tertio parce que les frais de port sont réduits à zéro en entrant le code « punkyb ».

 

Les couleurs sont celles que l’on aime: tabac, bleu pétrole, et bien sûr du marron, du noir.

En voici une petite sélection:

Sac Vanessa: 120€ au lieu de 220.

 

 

Sac Scarlett: 60€ au lieu de 145. 

 

Cabas Jane: 116€ au lieu de 215. 

Pochette chocolat: 28€ au lieu de 55.

 

Si vous avez plutôt envie de bijoux, quelques jolies pièces Louise Hendricks sont aussi disponibles sur le même site.

Boucles d’oreilles  veil or et aventurine: 39€ au lieu de 57.

 

Sautoir vieil or et aventurine: 59€ au lieu de 81. 

 

 Ras de cou: 59€ au lieu de 81.

 

Alors, on fait comme d’habitude, pour celles qui veulent un parrainage: un petit mail à votre Punky!

 

- Ca t’aMUSE?

 

Pourquoi est-ce que ce satané visuel me fait un tel effet?

Pourquoi une veste bleue, un pantalon blanc immaculé, une Kate frangée et un sac porté à la saillie du bras me font littéralement perdre tout sens commun? 

 

Pourtant, je ne suis pas de celles et ceux qui s’enflamment pour les publicités, si réussies soient-elles, que l’ont croise et recroise dans les magazines.

 

En général, soit j’y jette un oeil furtif si c’est la première fois que je les vois, soit je ne les regarde même plus.

 

En gros, je ne suis pas une bonne éponge à publicité, loin de là.

 

Mais cette photo est aussi électrisante que le bleu de la veste, elle me prive de toute mon objectivité et de tout mon pseudo sens critique.

Quand je suis devant cette photo, j’ai envie de peser 45 kilos, de me refaire une lourde frange et, surtout, je VEUX ce sac.

 

 

Et oui, nous voilà au coeur du problème.

Car j’ai beau me raisonner, me dire qu’il coûte l’ensemble des bras de toute ma famille réunie, ce sac est le seul qui me fasse véritablement rêver en ce moment.

 

Le souci avec lui, est qu’il ne pourra pas être remplacé par un placebo.

Certaines pièces sont trop fortes pour supporter d’être oubliées au bénéfice d’un quelconque simulacre, d’une cheaperie chez nos espagnols ou suédois préférés.

 

Alors voilà, je me meurs devant cette splendeur.

Le pire est que je ne saurais même pas quelle version choisir, tellement elles me plaisent toutes.

 

 

En même temps, la question se pose-t-elle vraiment? 

Non, hein… 

 

Allez, laissez-moi rêver (divaguer?) en paix. 

Promis, demain, on revient à la réalité. 

 

Sac Muse Two, Yves Saint Laurent, what else? 

- Blue monday

 
 

Si le « navy » a toujours fait partie de ma vie, le bleu et moi ça n’était pas franchement l’entente cordiale.

Le blue jean, oui, le blue tout court, pas spécialement non.

 

Et puis, je ne sais pas, est-ce que les bureaux de style et les créateurs nous influencent à ce point?

Toujours est-il que je plonge avec bonheur dans la vague bleue, de plus en plus facilement, sans heurt ni bleus à l’âme. 

 

Mon dernier méfait en date: mon fameux week end Anversois, dans la boutique vintage dans laquelle j’avais déjà fauté, Jutka & Risk.

Je passe en revue avec soin l’intégralité des vêtements de la boutique, une seule pièce me saute littéralement aux yeux, cette blouse en soie bleue dont la qualité et la coupe n’ont strictement rien à envier aux créateurs actuels.

 

Parfaitement à ma taille, je l’embarque ainsi qu’un petit sac à chaînette ultra pâtiné.

Les 2 me donnent déjà l’impression d’avoir été faits pour être portés ensemble. 

 

Point de premier degré, il est extrêmement facile de tomber dans un look mémère au possible avec une blouse en soie et un sac à chaînettes.

 

L’idée est justement de casser le côté un peu trop « coincé » des 2 pièces en les associant à un jean large, un collier mi chic mi rock et une paire de sandales vernies à plateaux aussi vertigineuses que confortables.

 

Un peu de vrai rouge sur les ongles et les lèvres et l’équilibre chic/décontracté est parfaitement respecté.

 

 

 

Top vintage, jean large Uniqlo, collier Les Bijoux de Sophie, chaussures Topshop, sac vintage

 

 

Décidément, le vintage est plus que jamais au goût du jour. 

Il est présent quasi systématiquement dans mes tenues les plus réussie.

Et au prix que coûtent ces pièces quasi uniques, on aurait drôlement tort de s’en priver, non?

 

 

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