Ah, ça faisait longtemps que je vous avais pas pondu un petit titre de behind the fagots un peu tiré par les tiffs, hein?
Mais si, ça me fait plaisir, promis.
Bon, dans la série « has been mais je me soigne pas », je poursuis avec les Minnetonka.
Vous savez que j’ai toujours été adepte de la chose, « la squaw » n’étant pas mon surnom pour rien, déjà au lycée.
Je sais, c’est très premier degré ce petit léopard dans mon cou (mon cou j’ai dit!) mais avouez qu’il est plutôt mignon, non?
Je l’ai repéré en début de saison mais je ne savais pas à quoi m’en tenir.
J’avais peur que ça soit un peu too much, trop premier degré, oui je n’ai que ça à la bouche, premier degré.
Et puis, finalement, la solution était de l’essayer (et de l’adopter, c’est mon côté S.P.A).
Oh mais c’est qu’elle avait sorti la panoplie de la petite fi-fille sage la Punky!
La chemise boutonnée jusqu’au goitre menton, le petit gros gilet de saison, la petite paire de boots fourrées pour pas avoir froid aux pieds-pieds et, cerise sur le plumier: le petit sac cartable de première de la classe!
What’s wrong with la Punky, vous vous dites?
En été, on la tombe (notez la référence musicale de premier choix).
Et fatalement en hiver, ben on la double!
Si je porte ça pour sortir de chez moi en ce moment?
D’après vous?
Evidemment que non.
Pour passer le pas de la porte, il faudra ajouter une bonne grosse maille, une bonne paire de chaussettes (évidemment) et peut-être même bien une bonne paire de boots fourrées.
Tout à base de « bonne » oui, oh oui!
Par contre, qu’est-ce qui m’empêche d’être comme ça chez moi, hein?
Ben rien.
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