

Il était un petit gileeeeet, qui trottait dans ma caboche bornéééée, mais que je n’avais ja ja jamais pu trouver, que je n’avais ja ja jamais pu trouver ohé ohéééééé!
Il était un petit gileeeeet, qui trottait dans ma caboche bornéééée, mais que je n’avais ja ja jamais pu trouver, que je n’avais ja ja jamais pu trouver ohé ohéééééé!
Les lovers de Color me Badd n’ont qu’à bien se tenir (comment ça ils sont morts?) je leur ai piqué toutes leurs couleurs!
Désolée pour les 93% de lecteurs qui n’auront aucune idée de mon clin d’oeil de début de billet, j’avais envie de m’adresser à celles qui, comme moi, ont la trentaine ou quasi et surtout pas nécessairement honte de leurs références musicales plus que douteuses qui datent de l’adolescence, boutonneuse ou pas.
Personnellement, à l’adolescence, je n’avais pas de bouton.
Par contre, j’avais environ 25 kilos en trop au niveau de l’arrière train.
Aucun rapport, je m’égare, certes, revenons donc à nos moutons.
Une envie de couleurs, pas si soudaine finalement mais plutôt sous jacente depuis quelques semaines.
Une envie également d’éclairer un peu cette grisaille blogosphérique où les billets grinçants se font de plus en plus présents ces derniers temps.
Voilà pourquoi aujourd’hui, j’ai plutôt envie non seulement de raconter n’importe quoi mais également de vous aveugler (au sens propre du terme, environ 79% d’entre-vous doit avoir perdu la vue en croisant l’un ou l’autre des visuels de ce billet) avec des couleurs certes flashy mais qui ont le net avantage de me faire voir la vie en rose, voire carrément clémentine, rouge tomate ou violet survolté.
Le tout mixé à du flare en velours so « comfy » qu’on croirait n’avoir jamais quitté son lit.
Il n’en fallait pas plus pour me plaire donc ré-adoption illico et pour une durée indéterminée du flare que je pensais, il y a encore peu, bel et bien mort et enterré.
Sur ce, je vous laisse soit vomir, soit vous délecter, les goûts et les couleurs… la suite, vous la connaissez!
Aujourd’hui, j’ai envie qu’un de mes proverbes favoris (et inventé par moi-même de toutes pièces) soit d’actualité!
Ce proverbe est le suivant: « On n’est jamais si bien servie que par ses adoraaaaaaaaaaaables lectrices! »
Oui, parfaitement, je vous graisse un peu la patte, je vous prends allègrement dans le sens du poil, je flatte votre ego pour parvenir à mes fins et quelles fins!
Je dois ABSOLUMENT, il en va de ma survie évidemment (mélodrame et exagération, quand tu nous tiens!) trouver ces boots en python Les Prairies de Paris de l’hiver dernier.
Oui, quête plutôt difficile de prime abord car:
– C’est un modèle de l’an dernier (How could I possibly NOT BUY THEM last winter?)
– Je pense qu’elles ont cartonné (comme presque toutes les créations de Laetitia Ivanez, miss Les Prairies)
– Je me dis que si certaines d’entre-vous les ont, elles doivent peut-être avoir envie de les garder, voire même préfèreraient les BRÛLER plutôt que de me les vendre, sait-on jamais?
Quoi qu’il en soit, je vous implore, vous, mes aimées, de bien vouloir m’aider à trouver ces boots (en 38 ou 38,5) dont je ne saurais me passer depuis qu’elles m’ont été prêtées pour les photos de vendredi dernier par ma Marie adorée.
Si vous savez où je pourrais les trouver, que vous avez une amie, une maman ou une grand-mère qui les a et veut s’en débarrasser (la mode n’a pas d’âge, voyons, grand-maman a droit elle aussi d’être fashion!), please, please, please, faites-le moi savoir dès que vous le pourrez!
Je compte sur vous, il en va de ma mentale santé!
Sauvez votre Punky b!
Après mon mini passage dans « La mode la mode la mode » sur Paris Première, un curieux mécène s’est manifesté.
Son nom? Papa.
Mon papa.
Nous étions en train de regarder l’enregistrement de la séquence (que je m’évertue à tenter de vous mettre en ligne, c’est normalement pour très bientôt) quand tout à coup il me sort d’un air très sûr de lui:
« Ah tu aimes ça, les combinaisons? J’en ai une pour toi, si tu veux! ».
Là dessus, je pouffe de rire.
Comment vous expliquer?
Mon papa ne travaille pas dans la mode.
Mon papa ne s’intéresse pas franchement à la mode.
Pour tout vous dire, mon papa, si ma maman n’était pas là, à veiller au grain, il serait certainement habillé comme lors de ce fameux apéro, un soir d’été, resté dans les annales de la mode: en short, chaussettes et claquettes de plage.
Totale avant-garde quoi.
Donc forcément, lorsqu’il m’annonce qu’il a une combinaison pour moi, j’ai peur.
Là dessus, il renchérit:
« C’est une combinaison de pilote ».
Ok, j’ai au moins pu éviter la combinaison de jardinier, c’est déjà ça de gagné.
Avec lui, tout est possible, surtout si il y a moyen de rigoler.
Les chats ne font pas des chiens. Bref.
Chose promise, chose due, il passe me la déposer chez moi hier.
Tiens, tiens.
Intéressante cette petit chose kaki.
Et si on tentait de se l’approprier à la sauce 2008?
Après tout, impossible n’est pas Punky et c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure mode.
Ou pas.
Je vous laisse seul juge de mes variations sur le thème de la combinaison-maison.
Combinaison de pilote, marinière H&M, sandales gladiators Asos, bracelets New Look, boucles d’oreilles Topshop
Combinaison de pilote, ceinture vintage, escarpins peep toe Les prairies de Paris
Plus de photos sur ma page modepass
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