- Une valise de It-trucs pour un It-été

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J’ai décidé de partager avec vous un de mes papiers pour Luxuriant, un magazine « Lifestyle » Luxembourgeois.

 

Il est plutôt d’actualité car je sais que bon nombre d’entre-vous doit être en train de se farcir la corvée de la valise.

 

Perso, ça me passe presque l’envie de partir tellement je HAIS préparer mes bagages…

 

Donc voici quelques lignes sur la valise « idéale » telle que je me l’imagine, elle est d’ailleurs très similaire à celle que j’avais emportée à Fuerteventura.

 

Cliquez sur l’image et zoomez pour lire l’article. 

Je vous retrouve plus tard avec de bonnes nouvelles…

On ne sera pas à poil à la rentrée, foi de Punky b! 🙂

- Like a candle in the WIND

Ah la la… Moi qui n’avais de cesse de me vanter continuellement à qui voulait bien l’entendre (et surtout à qui n’avait pas trop le choix) que j’étais vraiment extrêmement physionomiste, que je reconnaissais les gens même des années après les avoir connus ou croisés, que j’étais incollable sur les ressemblances entre telle personne et tel people, je me suis pris un WIND, mais alors un WIND!!!

Mé-mo-rable.

Je vous plante le décor.

Dimanche après-midi.

Le Marais (what else?)

Je suis en repérage pour un job que je dois effectuer le lendemain.

Un poil stressée, un poil sur le qui-vive, un poil… pas dans mon état normal.

Je rentre chez Shine. Coup d’oeil rapide à la fille assise sur la banquette à l’entrée et là, mon coeur se serre, s’accélère.

ELLE est là, devant moi.

C’est Isabel Marant, en chair et en os.

Cheveux assez courts tirés en micro queue de cheval (j’ai envie de dire « comme d’hab »), frange qu’elle cale négligemment derrière l’oreille, un look masculin-féminin qu’elle affectionne tant (pour l’avoir lu et relu dans ses différentes interview): manteau d’homme, foulard, jean droit et, LES high tops Pierre Hardy collector de l’hiver 2007 qui sont en train de me réconcilier avec le port de la basket, prohibé chez moi depuis maintenant pas mal d’années.

Bref, un look simple, sans fioriture et qui pourtant fait indéniablement mouche.

Tout Isabel quoi…

Je l’observe du coin de l’oeil, elle essaye LES escarpins. Une paire de sandales à talons aiguilles, largement ouvertes sur le devant, en cuir vert, de la belgissime Véronique Branquinho. Puis elle les essaye en jaune poussin.

Je me dis qu’elle a vraiment de bons goûts, Isabel…

Là dessus, mon belgissime copain, l’appareil photo en embuscade, me propose de la choper à la sortie de l’échoppe lorsqu’elle aura elle-même fini de shopper. 

Je ne peux qu’acquiescer.

Il sort, l’attend. Elle sort et… la suite vous vous en doutez. 

Lui, confiant: « Vous êtes Isabel Marant? »

Elle, gênée (pour lui?): « Ah non, désolée, pas du tout ».

Lui, (qui ne se démonte pas): « Je peux tout de même prendre votre look en photo? »

Elle, adorable: « Bien sûr! »

Pour ma défense, car je sens qu’il faut que je me justifie votre Honneur, voici une photo d’Isabel publiée sur le site de Vogue.

Il y a quelque chose quand même, non?

Non?

Ok.

Mais le look, j’adore.

Et on est là pour ça non? Montrer des looks qu’on aime?

Donc pas Marant*, ok, mais pas hors-sujet.

Merci. 

 

 

- Stevie’s wonders, Punky wanders!

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Cher Steve,

 

Je t’écris aujourd’hui pour mettre une fin définitive à notre relation.

Ne prends pas cet air étonné, cette décision, si difficile à prendre j’en conviens, n’est que la suite logique des tortures que tu m’infliges depuis de si longs mois.

Ne t’ai-je pas à maintes et maintes reprises expliqué ce qui, selon moi, était le ciment d’un couple tel que le nôtre?

L’amour est certes important, primordial même. Et ça, de l’amour, on s’en est donné. Enfin surtout moi.

Bref, je ne remets rien en cause.

Par contre, qui dit amour dit soutien, dans le bonheur comme dans d’adversité. Et c’est bien d’adversité dont il s’agit aujourd’hui. Tu le sais mieux que personne.

Tu sais à quel point c’est dur d’être là où je suis. Tu sais à quel point mon mal est profond, à quel point il va être difficile voire carrément impossible de me soigner.

Et toi, pendant que je souffre le martyre, que fais-tu? Hein, je te le demande?

Tu enfonces le clou là où ça fait mal.  

Alors, je te laisse méditer sur les raisons de ma décision de rompre.

Pour t’aider à bien comprendre, je te joins quelques photos des délits dont tu es accusé. Tu ne pourras donc pas nier les faits. Ils sont flagrants.

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N’essaye pas de me joindre à la clinique, j’ai diffusé ta photo, ils savent qu’ils ne doivent sous aucun prétexte te laisser m’approcher avec tes gros plateaux, de près ou de loin. 

Sur ce, adieu Steve. 

Punky b, Shoe Addict Anonymous, Clinique du Pied de Grue, chambre 38

 

 

- Punky’s not dead!

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Non, non n’ayez pas peur!! Restez!! C’est moche mais ça fera l’affaire en attendant non?

Comme pas mal d’entre vous ont pu le constater, mon blog est bloqué depuis plus de 24h, j’ai des soucis avec mon hébergement, bref, un bon gros stress dont je me passerais bien!

Mais si il y a bien quelque chose dont je ne peux pas me passer, c’est bien de vous et je préfère poster dans un lieu transitoire, ici- même si vous me suivez bien, plutôt que de vous laisser sans rien tant qu’aucune solution n’est trouvée.

Ca ira quand même? On va supporter cette épreuve OU PAS?

Merci mille fois à toutes celles qui m’ont envoyé un mail inquiet, vous êtes des amours de vous préoccuper de ça!

Aucune crainte à avoir, n’en déplaise à certains, mon blog est peut être bloqué, mais je continue à bloguer.

Non mais! 

Je vous dis à tout de suite pour un billet, un vrai, même qu’il y aura du look et du printanier!