A force de subir un temps plus que déprimant, j’en ai perdu mon envie de porter de la couleur.
Ou plutôt j’ai eu à nouveau envie de porter du noir, ce qui ne m’était pas arrivé depuis quelques mois maintenant.
Verdict?
A force de subir un temps plus que déprimant, j’en ai perdu mon envie de porter de la couleur.
Ou plutôt j’ai eu à nouveau envie de porter du noir, ce qui ne m’était pas arrivé depuis quelques mois maintenant.
Verdict?
Le revoilà, mon top fétiche du moment, que je porte à toutes les sauces comme je vous l’expliquais dans le premier volet de cette saga qui fait dans la dentelle.
Et il me sauve la mise encore une fois, ce débardeur, parce que cette robe, à la base, j’aurais aimé qu’elle soit jupe.
Je l’ai achetée il y a quelques semaines, en pleine frénésie de jupes longues et l’imprimé m’a de suite plu, moins le fait que ça soit une robe.
Je trouvais ça un peu too much, le coup de l’imprimé super présent, et sur une robe et longue qui plus est.
Ah, les fringues « chouchou », que j’aime l’idée, déjà.
Celles que tu portes et re-portes sans te lasser, qui te sauvent la mise les jours où ton inspiration est aussi luxuriante que la chevelure de Bruce Willis, celles que tu mets avec tout ou presque tellement tu ne peux pas te résigner à porter autre chose.
Bon, soyons lucides, c’est assez rare.
La fringue chouchou ne court pas les rues (ni mon dressing) non plus.
J’ai eu par exemple le fameux tee-shirt Gap, mes skinny boyfriends de Levi’s, mes vieilles boots Isabel Marant (tellement défoncées qu’on ne pourrait jamais deviner qu’elles ont un jour été neuves 😉 et j’en passe quelques uns mais j’ai le bonheur de vous annoncer que j’ai un nouveau chéri de penderie.
Vous savez que quand on aime, on ne compte pas (ok).
Mais surtout, on n’aime pas se trouver dépourvu une fois que la bise fut venue une fois que la pièce adorée rend son dernier souffle.
D’où l’intérêt du doublé gagnant, concept hautement philosophique lancé l’année dernière et toujours aussi pratique comme argument bidon sérieux au shopping.
Vous vous souvenez de mon sac ethnique, déniché l’année dernière dans une petite boutique de la rue Dansaert à Bruxelles qui vend des tas de pièces venues d’Asie?
Je vous l’avais montré à plusieurs reprises sur le blog (ici et ici).
Il se trouve que ce fameux sac, c’est vraiment l’un de mes préférés.
Et qui dit préféré dit porté à outrance et déjà un peu fatigué de la bandoulière, le petit…
Du coup…
Ah que j’aime l’espagne et la suède cette saison!
Ca faisait un bon moment que je n’avais pas été aussi comblée par les enseignes très abordables, oubliant presque complètement les boutiques et marques plus chères tellement je trouve mon bonheur chez Zara, H&M et consort sans éprouver le besoin d’aller me saigner ailleurs.
C’est particulièrement vrai chez Zara, d’ailleurs, où je trouve la collection non seulement réussie mais tellement joyeuse et colorée qu’un passage là-bas met presque inconsciemment de bonne humeur.
D’humeur acheteuse, en tout cas, pour être totalement lucide! 😉
Quand je compose mes looks, en général, je trouve assez rapidement la paire de chaussures qui me paraît la plus adéquate pour accompagner ma mise.
Et cette fois, je ne sais pas, impossible de choisir.
A la base, j’avais envie de plat, beaucoup.
Mais les talons me paraissaient tout aussi judicieux sur ce coup.
Pourquoi le plat?
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