J’avais prévu de vous parler de cette blouse/chemise/immensité non-identifiée trouvée chez Primark lors de mon shopping londonien.
Tout d’abord parce qu’elle m’a beaucoup plu, évidemment.
Elle était seule, traînait dans un rayon qui n’était pas le sien, je l’ai prise en 44.
Ma taille de top, en somme !
C’est à cause de mon 95 E, en fait (dit la planche à pain).
Et alors, quoi de neuf chez les suédois aux 2 initiales?
C’est pas que ça commençait à faire long, mais presque, depuis la dernière fois que je m’étais dit « ils sont trop forts ces nordiques, une telle pièce à un tel prix, whaou, merci les gars! » (sympa les conversations toute seule, ça fait vachement saine d’esprit, j’aime bien…)
Et puis il y a quelques semaines (2 je dirais) je suis tombée sur lui.
Oh, ça va…
Une petite blague, de temps en temps, ça fait pas de mal (oui c’est une blague, je ne vais pas vraiment disparaître, pas tout de suite en tout cas!)
Ce titre évoque plutôt 2 choses.
La première: les fins de soldes, à Londres, cette fois.
Bien sûr que j’ai un peu pelé sur les bords en sortant en bras de chemise faire quelques photos dehors.
Je ne vais pas vous faire croire qu’il y a un micro climat sur la Moselle, vous ne me croiriez pas (c’est pas écrit bécasse, on est d’accord).
Depuis début 2008, j’ai arrêté de chercher le manteau parfait à mes yeux.
Celui qui remplissait tous les critères que je souhaitais cocher pour définir le manteau d’hiver absolu: bien coupé, confortable et chaud, facile à porter et à re-porter sans me lasser.
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