
J’ai un côté collectionneuse, là, je ne vous apprends pas grand-chose.
La taille de mon shoesing, par exemple, parle pour moi.
Pas que j’en sois spécialement fière (accumuler des chaussures, ouais, super, un toc plutôt onéreux…) mais c’est un constat qui s’impose à moi.
Par contre, ce côté collectionneuse vient également d’un côté prévoyant, qui fait que quand j’aime, j’achète minimum en double la pièce en question.
Ce que j’appelle le « doublé gagnant », d’où le titre.
Si, si, y’a presque une logique dans ma démonstration foireuse à peine teintée de mauvaise foi séculaire.
Evidemment, on parle bien de pièces plutôt bon marché, sinon le doublé, je peux juste l’oublier.
Je suis un peu malade, certes mais pas totalement débile non plus.
Lorsque je « double-gagnante », c’est en général dans nos bonnes vieilles enseignes suédoise et espagnole.
Alors soit je « double-gagnante » une même pièce dans un même coloris (besoin d’être rassurée?) pour être certaine que si l’un me lâche, l’autre sera toujours là (ah c’est beau, ou peut-être pathétique, aussi…).
Soit je « double-gagnante » dans des coloris différents, tellement le modèle m’a plu, impossible de ne pas embarquer les plusieurs déclinaisons proposées.
Maladie mentale tout aussi grave, on est bien d’accord.
Et la semaine dernière, accompagnée d’une Bali dont la double-gagnanterie n’est plus à prouver depuis des années, j’ai inévitablement double-fauté/gagné.
Un petit top dentelle très yummy dont je vous présente la première déclinaison aujourd’hui: en écru mes amies!






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