- Doublé gagnant #1

 

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J’ai un côté collectionneuse, là, je ne vous apprends pas grand-chose.

 

La taille de mon shoesing, par exemple, parle pour moi.

 

Pas que j’en sois spécialement fière (accumuler des chaussures, ouais, super, un toc plutôt onéreux…) mais c’est un constat qui s’impose à moi.

 

Par contre, ce côté collectionneuse vient également d’un côté prévoyant, qui fait que quand j’aime, j’achète minimum en double la pièce en question.

 

Ce que j’appelle le « doublé gagnant », d’où le titre.

Si, si, y’a presque une logique dans ma démonstration foireuse à peine teintée de mauvaise foi séculaire.

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- It’s all relative

 

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Une photo « ratée » que bizarrement j’aime bien, en ouverture de billet, parce que ça colle à mon thème du jour.

 

Les goûts, les couleurs et les coups de coeur, parfois ça ne s’explique pas.

 

Cette photo à la tête coupée, je ne sais pas vraiment pourquoi elle m’a plu.

 

Peut-être parce qu’elle m’a rappelé de bons souvenirs. Ceux des débuts, où l’anonymat était une évidence et avouons-le également: un vrai luxe!

 

Jamais de « bad hair » ou de « crappy head day », nous étions toutes des Marie-Antoinettes en puissance.

Le pied, si je puis dire!

 

 

Trève de passéisme larmoyant, rentrons dans le vif du sujet!

Mon coup de coeur absolument énorme pour une pièce qui va vous paraître au mieux ultra basique et déjà vue et au pire carrément chiante et limite insultante pour vos yeux de fashionistas aguerries.

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- Kate à mon bras #2

 

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Chassez le naturel, il revient au galop.

 

Après un premier épisode en mode plutôt sobre et presque classique (oui Géraldine, classique!) on revient aux bonnes vieilles habitudes.

 

Je reprends mes piliers à moi (jean, boots, imprimé animalier, ribambelle de colliers etc) pour vous présenter Ladbroke, une autre création pour Longchamp de notre Kate pas nationale du tout (même si on serait pas contre hein…).

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- Kate à mon bras #1

 

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Quand j’ai su que Kate Moss ne se contentait plus d’être la (sublime) image de Longchamp mais qu’elle allait mettre véritablement la main à la pâte ou plutôt au crayon et lancer sa ligne de sacs, j’étais vraiment très impatiente et intriguée de découvrir le fruit de leur labeur.

 

Est-on crédible lorsqu’on n’a pas de formation de styliste et qu’on s’implique dans un tel projet?

 

La réponse est oui, car elle a eu la chance d’être super bien entourée, Kate.

 

Et quoi de plus grisant que de pouvoir expliquer à des professionnels ses idées et de les voir se concrétiser aussi facilement?

 

Je ne sais pas si vous avez pu lire l’une ou l’autre des interviews qu’elle a données concernant cette collaboration mais j’ai aimé le message véhiculé.

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