















Je suppose que certaines choses sont immuables, où que l’on soit, quelles que soient les choses qui nous entourent.
Je suppose également que certaines obsessions ont la dent dure et occupent toujours le haut de l’affiche dans mon micro cerveau jet- lagué mais pas largué ni déboussolé pour autant.
Il sait.
Il sait que je ne pourrai décemment pas aller à New York et repartir empty handed.
Il sait que dans mon parcours de combattant de la shopaholic en perdition me mènera forcément là où la botte plate frangée tient le haut du pavé.
Il sait également que malgré la possesion de 2 paires de ces delicious booties already dans mon shoesing surblindé, il me fera forcément repartir avec une de ces pocahontaseries déjà vues et revues mais toujours autant aimées par votre Punky b.
Ce que mon cerveau de piaf n’avait tout de même pas prévu, c’est le doublé gagnant qui s’est imposé à moi, en étant tout bonnement incapable de choisir entre ces 2 paires, au prix tellement attractif que me décider pour l’une ou pour l’autre n’a même pas été indispensable.
Les voilà devant ma fenêtre d’hôtel, admirant une dernière fois cette vue imprenable sur les immeubles New Yorkais qu’elles vont quitter dans quelques petites heures seulement, une paire à mes petons l’autre glissée je ne sais pas encore comment dans mon oversized valise déjà plus que full, full, full…
Full of what?
On en reparle demain, si vous voulez bien…
Je vous laisse mes lapins, il me reste seulement quelques heures pour profiter de ma Big Apple préférée.
Je n’ai pas le temps de vous expliquer ce qu’il se passe exactement mais je vous laisse quand même un petit mot pour vous dire que je m’envole dans quelques petites heures pour New York!
J’ai mon ordinateur avec moi, je vous raconte tout de là-bas!!
A plus tard mes poulettes!
Photo défilé Alexander Wang automne hiver 2008/09 (Vogue.fr)
Ah, les joies du déménagement…
Heureusement que la famille et les (vrais) amis sont là!
Car pour une collectionneuse comme votre incorrigible Punky, il est important d’être entourée de personnes compréhensives qui sauront faire la part des choses lorsqu’elles se frappent 15 allers-retours les bras chargés de boîtes à chaussures…
Ma Minisushi n’a non seulement pas moufté devant le monticule insensé de paires de chaussures, mais elle a croqué sa vision de la chose avec son humour habituel.
Je lui ai piqué son dessin, il est tellement… réaliste?
Après le déménagement, il reste encore… le rangement.
Et ça n’est pas forcément une sinécure, c’est le moins que l’on puisse dire.
Devant l’étendue de la tâche (corvée?) qui s’offre à moi, je me dis que la tenue confortable s’impose.
Non, le confort n’est pas nécessairement synonyme de bon vieux survet’ élimé.
Selon moi, ça serait plutôt un look gentiment étudié pour être cool sans avoir honte de croiser les nouveaux voisins dans la cage d’escalier.
Ce qu’on fait encore de mieux dans le genre « ultra comfy but yet a little trendy » c’est bien une silhouette comme les imagine si bien American Vintage.
Une grande liquette anthracite en coton tramé, un legging couleur carbone (coloris moins dur que le vrai noir et surtout moins opaque lorsqu’il fait encore « presque beau »), un simple tee-shirt blanc toujours en coton tramé glissé sous la liquette, une bonne vieille paire de boots et le tour est joué.
Pas de fashion performance, juste une silhouette basique dans laquelle on se sent bien.
Au vu de l’étendue des rangements à effectuer, le confort n’est pas qu’une simple bonne idée, c’est une nécessité!
La mode attendra bien quelques jours pour reprendre ses droits, une fois bien installée dans mon nouveau chez-moi.
Vous me pardonnez pour cette fois?
Liquette et legging: American Vintage
Tee-shirt blanc: H&M
Camarguaises: Absolute Vintage
OUI, encore du Zin sur ce blog, OUI j’aime cette petite griffe Marseillaise et OUI j’en parle à chaque fois ou presque qu’il y a une vente!
Pourquoi?
Parce que leurs sacs sont parfaits et je sais de quoi je parle, j’en ai quand même 3 à mon actif, rien que ça!
J’aime qu’ils soient cool, qu’on puisse les porter tous les jours sans trop se stresser, mes préférés sont les plus grands car j’ai toujours eu du mal à porter un petit sac (ce qui ne m’empêche pas d’en acheter, notez la stupidité effarante de mon comportement) mais tous leurs modèles sont inmanquablement séduisants, avec toujours le petit détail qui fait mouche, malgré leur apparente simplicité.
Leur vrai truc en plus?
La douceur incomparable de leur cuir. Je ne m’en lasse pas.
Chic Dressing les met une fois encore à l’honneur et surtout à portée de bourse, ça tombe bien, ils en font de très jolies!
Voici ma petite sélection, loin d’être exhaustive.
Sac Eva, 132€ au lieu de 220
Comme d’habitude, je peux vous parrainer si vous n’êtes pas inscrite sur le site. Il suffit de m’en faire la demande par email (Punky, tu me parraines, dis?)
Vous pouvez également bénéficier des frais de port gratuits en tapant le code « punkyb2 », c’est toujours bon à prendre.
Et pour celles qui se foutent des sacs ZIN mais aiment bien venir me lire, je suis super émue de vous annoncer que ceci était mon 500ème billet!
Alors merci à vous toutes et tous de venir si régulièrement lire mes bêtises et âneries clairement assumées!
Parce qu’après tout la mode, ici, même si on l’adore, c’est plutôt en dilettante qu’on la vit!
Je vous fais plein de bisous et vous dis à demain pour le numéro 501!
Je vois des clous partout, c’est grave docteur?
Mes symptômes? Ils sont simples.
Je n’ai qu’une seule envie, troquer l’intégralité de ma garde-robe et l’échanger contre de la frusque ou de l’accessoire clouté.
La tendance punk/rock ne pouvait que me plaire, avec un pseudo pareil vous pensez bien que votre Punky se pâme devant tout ce qui peut ajouter un peu de piquant à nos looks parfois trop gnangnans.
Evidemment, ça n’est pas parce que j’aime les clous que je vais me transformer en Sid Vicious, Punk is not dead, d’accord mais faut pas pousser mémé Punky dans les tessons de Kro non plus…
Le clou est à manipuler avec délicatesse et parcimonie, point de total look du sommet de sa crête jusqu’au bout de ses Crepers.
Par contre, le clou se marie parfaitement bien avec les tendances fortes de la rentrée:
– le « folko/bobo » (vu chez Gucci)
– le « tartano/Cow Boy » (vu chez la plus Marante de toutes, entre autres)
– le « Dark is Dark, je suis gothique comme au lycée » (vu chez Givenchy et son Riccardo qui a tout compris)
Bref, le clou va plus ou moins avec tout, il suffit juste de l’aimer et d’avoir envie de bousculer ses habitudes.
L’idéal du clou selon moi, c’est ça:
LA paire de boots de mes rêves, Gucci, 695 €, genre…
Il va falloir songer au palliatif de toute urgence!
Alors j’épluche les sites de ventes en ligne, tous les magazines, j’arpente de fond en comble les boutiques à la recherche de l’accessoire clouté qui pourrait me faire oublier ces somptuosités hors de portée.
Inutile de vous dire que ça n’est pas gagné.
Il va falloir un tant soit peu patienter pour celles qui, comme moi, veulent trouver la parfaite paire de boots cloutées à un prix qui ne semble pas trop exagéré.
En attendant, j’ai craqué sur le modèle Colin Stuart, déjà adopté par deux de mes bloggeuses US préférées, les sublissimes Karla et Rumi.
Evidemment, je ne leur ressemble ni de près ni même de loin, je ne les porterai donc pas du tout avec de la jupette taille haute moulantissime.
La suite? Du look as soon as possible, dès que je les reçois, pour vous les proposer à la sauce Punky b et voir ce qu’elle ont dans la plateforme, ces petites boots cloutées!
Photos défilés Gucci, Isabel Marant et Givenchy: Lefigaro.fr
Boots cloutées Colin Stuart vendues chez Victoria’s secret: 98$
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